Judo Pro League : Les deux premiers demi finaliste
Le Judo Nice Métropole vainqueur de son quart de finale. Crédit photo : Judo Pro League
Les deux premiers quart de finale de la Judo Pro League ont eu lieu et on peut dire que l’on ne sait pas ennuyé. Avant les deux autres quart de finale, on fait le point.
Nice impressionne de maîtrise…
Opposé au JCCMM, le Judo Nice Métropole, tenant du titre, n’a rien laissé aux essonniens. En effet, les niçois ont remporté leur match sur le score de dix à zéro. C’est Léa Métrot qui lançait la machine niçoise face à Aya Louchène. La judokate, médaillée de bronze au Grand Chelem d’Abu Dhabi cette année, trouvait la faille sur un kata guruma marqué waza ari à un peu moins de deux minutes de la fin. Elle était suivie par Driss Masson Jbilou, ancien du PSG, qui immobilisait le jeune Marin Chabon.
Après une victoire de Alya De Carvalho en -57kg, c’est le niçois Enzo Gibelli qui noussoffrit une merveille de morote seoi nage à genoux en moins de dix secondes de combat. Une victoire rapide de Rania Drid en -63kg et Nice menait déjà cinq à zéro à la pause.
Clémence Emé, les frères Gnamien et voilà le Judo Nice Métropole à un point du score parfait. Guerman Andreev se chargeait de finir le travail en gagnant par osaekomi en hon gesa gatame après un retournement.
SGS – OM a tenu ses promesses…
On attendait un match serré ou chaque point pourrait compter. Ce match a eu lieu et a tenu toutes ses promesses, ne ne se décidant que sur le dernier combat. Ce sont les marseillais qui ont marqué les premiers points de ce quart de finale. D’abord par l’intermédiaire de l’italienne Micaela Sciacovelli, médaillé de bronze aux championnats du monde juniors 2023, qui battait Chloé Riboulon sur un étranglement provoquant l’évanouissement de la judokate juste avant la fin du combat. C’est ensuite le géorgien Giorgi Zanezashvili qui battait Adrien Hubert sur un joli o uchi gari. Une vitoire par osaekomo de l’écossaise Malin Wilson face à la jeune Clarisse Carillon. Puis deux matchs nuls qui semblaient plus arranger les marseillais que les essoniens. En effet, à la pause, SGS ne comptait pas le moindre point.
En -81kg, Quentin Joubert permettait à l’équipe de Pascal Renaud de prendre leur premier point avant que Kaïla Issoufi ne réduise encore plus l’écart en remportant son combat, deux contres, deux waza ari. Le marseillais Lucas Duchaussoy permettait à son équi pe de reprendre de l’air en s’imposant sur un makikomi comptabilisé waza ari. Le forfait de Célia Cancan pour l’OM, en stage avec l’équipe de France junior, ramenait SGS à un point de l’OM.
Il fallait un ippon à Amadou Meité, le vice champion de France, pour s’imposer. Chose dite, chose faite : le judoka génovéfain immobilisait Ryan Dacosta. Résultat, quatre à quatre, trente deux à trente et un pour SGS.
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